IPV6, FOAF, SSL et Internet des objets
Il y a presque deux ans, j'avais évoqué un peu par dessus la jambe l'usage de FOAF (Friend of a Friend), couplé à SSL. Le sujet était un peu crétin puisqu'il se cantonnait à une solution nerdy pour contourner HADOPI et se créer un réseau de confiance à des fins de partage. Aujourd'hui, avec la pénurie d'IPV4 et l'arrivée d'IPV6, ce sont également nos objets de tous les jours qui seront peu à peu connectés à Internet. On appelle ça l'Internet des objets.
Il y a presque deux ans, j'avais évoqué un peu par dessus la jambe l'usage de FOAF (Friend of a Friend), couplé à SSL. Le sujet était un peu crétin puisqu'il se cantonnait à une solution nerdy pour contourner HADOPI et se créer un réseau de confiance à des fins de partage. Aujourd'hui, avec la pénurie d'IPV4 et l'arrivée d'IPV6, ce sont également nos objets de tous les jours qui seront peu à peu connectés à Internet. On appelle ça l'Internet des objets. Nous allons donc tenter un exercice de vulgarisation d'une architecture technologique appliquée aux usages d'Internet, tels qu'ils devraient toujours l'être : décentralisés, permettant la confiance et donnant tous les pouvoirs à l'utilisateur, pour partager des données et des équipements... et pourquoi pas des applications. Ces technologies existent, elles combinent réseau, web sémantique et chiffrement afin de faire communiquer des humains, des objets et des applications.
Avec une IP publique, accessible depuis Internet, ce qu'on nomme timidement l'Internet des objets posera de nouvelles problématiques en matière de sécurité, mais ce n'est pas le propos pour cet article. Inversement, nous aurons le loisir de partager l'intelligence des objets de notre quotidien grâce au réseau. Et c'est bien là le plus intéressant. Prenons pour débuter un premier cas relativement simple :
- Jean dispose d'un ordinateur et d'un disque dur...