#Giec : face à la propagande, que doit faire le journaliste ?
Il arrive, dans certaines périodes de l'histoire humaine, que la propagande soit si forte, qu'il devienne presque impossible de critiquer un sujet sans se voir traiter de tous les noms, remisé dans les bas-fonds intellectuels par le plus grand nombre. Pour un journaliste, cet état de fait est très gênant.
Il arrive, dans certaines périodes de l'histoire humaine, que la propagande soit si forte, qu'il devienne presque impossible de critiquer un sujet sans se voir traiter de tous les noms, remisé dans les bas-fonds intellectuels par le plus grand nombre. Pour un journaliste, cet état de fait est très gênant. Il existe donc plusieurs solutions dans ce cas là : participer à la propagande, se taire, ou bien critiquer quand même le message propagandiste quand celui-ci semble empreint de fausseté, de contre-vérités et ayant des objectifs obscurs, manipulateurs ou de domination des uns sur les autres, ou encore d'intérêt pur, ce qui est le plus fréquent.
Il en est ainsi du climat et du Giec : le journaliste moderne se doit d'alerter la population sur les effets dévastateurs à venir du changement climatique causé par l'homme et ses rejets de gaz à effets de serre. Aucune autre option n'est offerte au journaliste sur ce sujet, tout du moins en France. S'il le fait, même sans aucune sorte de début d'approche scientifique, il est un journaliste honnête, qui fait son travail. Si par contre il ose un début de critique, de mise en cause des conclusions du Giec, amène quelques éléments contradictoires mêmes lorsqu'ils sont apportés par des spécialistes du domaine, c'en est fini du journaliste. Accusé d'incompétence, de méconnaissance, de ne rien comprendre à la science, de ne pas maîtriser le sujet, d'être un dangereux provocateur,...