Le jour où Google a réussi à s'autocensurer
Cette petite brève légère à propos de Google est un exemple assez amusant des effets collatéraux d'un algorithme qui se vautre lamentablement, au point de censurer des milliers de pages de comptes Twitter. Comme vous le savez probablement, Twitter est un magnifique outil d'exercice de liberté d'expression. Un Jean-François Copé vous en donnera la définition suivante : "c'est le réseau social où n'importe qui peut dire n'importe quoi"...
Cette petite brève légère à propos de Google est un exemple assez amusant des effets collatéraux d'un algorithme qui se vautre lamentablement, au point de censurer des milliers de pages de comptes Twitter. Comme vous le savez probablement, Twitter est un magnifique outil d'exercice de liberté d'expression. Un Jean-François Copé vous en donnera la définition suivante : "c'est le réseau social où n'importe qui peut dire n'importe quoi"... ce qui revient sensiblement au même bien que ceci le dérange.
Google propose un navigateur web qui est peu à peu en train de s'imposer comme le leader... lentement mais surement. Chrome est un navigateur versatile extensible, et donc pas uniquement une fenêtre d'enferment sur l'univers Google.
Aujourd'hui, certains utilisateurs de Chrome qui fréquentent Twitter ont eu la surprise de voir leur propre page censurée par le navigateur au motif que cette dernière abriterait des logiciels malveillants.
En regardant dans les paramètres avancés de cette page, on tombe sur l'explication. Et l'explication c'est Twitpic.com, le site qu'utilisent de nombreux utilisateurs de Twitter pour partager des images.
La situation, en plus d'être relativement pénalisante pour un grand nombre d'utilisateurs, est d'autant plus cocasse que le navigateur de Google signale comme malveillant un site qu'il...